Pour retracer l’histoire du Domaine du Siorac, il faut remonter jusqu’en 1818 et aux origines des terres agricoles. Durant plusieurs générations, les familles Landat et Faugère cultivaient une grande partie des terres de la commune. Ainsi, bien que les terres soient familiales depuis 1818, l’histoire du Domaine du Siorac débute avec un beau et long mariage de Josette Faugère et André Landat.
En effet en 1965, après avoir fondé une famille de 6 enfants (3 garçons et 3 filles), André prend la succession de son père et de son beau-père sur les deux propriétés adjacentes. André achète une exploitation voisine de 10ha et s’installe sur une propriété de 54ha dont 6 hectares en vignes et 48 hectares de grandes cultures.
André regroupe les exploitations familiales (54ha dont 6ha en vignes).
Une crise viticole touche les vins de Bergerac, les cours du vin baissent pendant 2 ans.
Première mise en bouteilles au domaine (récolte 1973 encore en cuve).
Jean-Paul, le fils aîné s'installe sur une partie de l'exploitation.
Installation de Jean-Pierre et Jean-Philippe sur le Domaine
Groupement avec des producteurs locaux.
Groupement avec d'autres viticulteurs pour achats groupés de fournitures.
André prend une retraite mérité.
Ce produit oublié renaît avec les "3 Jean".
Modernisation du chai avec cuves thermorégulées.
7ha de vignes supplémentaire cultivées à St Capraise.
Les "3 Jean" décident d'axer leur métier sur la vigne et le vin.
La fille ainée de Jean-Paul prend en charge le secrétariat et la comptabilité.
La vente en direct est renforcée avec un lieu d'accueil / vente à la propriété.
Pascale Brésolin est embauchée pour s'occuper de l'habillage et de la gestion des commandes.
Un incendie dévaste une partie des bâtiments (magasin et atelier étiquetage).
Le projet de reconstruction est en cours.
Les nouvelles installations sont inaugurées.
Avec la reprise d'une activité d'un ami, la vente au particulier est renforcée par des dégustat2ions/ventes en période estivale.
Muriel Landat-Pradeaux, fille de Jean-Paul rejoint le domaine.
Il n'y aura pas de millésime 2013 en vin rouge (météo capricieuse et maladies).
Jean-Philippe quitte le domaine et démarre une nouvelle activité.
Muriel s'associe à Jean-Pierre. Jean-Paul sera retraité salarié. Le GAEC devient une EARL.
Nous nous engageons pour les 29 Ha de Vignes dans la production BIO. Le premier millésime qui pourra avoir le logo AB sera le millésime 2020 !
Muriel est gérante, J-Pierre es retraité. Thibaut Guillermier rejoint l'équipe pour le remplacer au chai et au vignoble. Il sera aidé par Benoît Logié pour la vigne, ce dernier remplace J-Paul sur les tournées de livraison ! J-Paul est également retraité mais travaille à temps partiel. Quentin rejoint la Production en 2019.
La récolte 2020 sera la première certifiée Bio avec Ecocert. C'est aussi l'année du Covid : la capacité d'adaptation de l'équipe du Domaine du Siorac n'est plus à démontrer !
André regroupe les exploitations familiales (54ha dont 6ha en vignes).
Une crise viticole touche les vins de Bergerac, les cours du vin baissent pendant 2 ans.
Première mise en bouteilles au domaine (récolte 1973 encore en cuve).
Jean-Paul, le fils aîné s'installe sur une partie de l'exploitation.
Installation de Jean-Pierre et Jean-Philippe sur le Domaine
Groupement avec des producteurs locaux.
Groupement avec d'autres viticulteurs pour achats groupés de fournitures.
André prend une retraite mérité.
Ce produit oublié renaît avec les "3 Jean".
Modernisation du chai avec cuves thermorégulées.
7ha de vignes supplémentaire cultivées à St Capraise.
Les "3 Jean" décident d'axer leur métier sur la vigne et le vin.
La fille ainée de Jean-Paul prend en charge le secrétariat et la comptabilité.
La vente en direct est renforcée avec un lieu d'accueil / vente à la propriété.
Pascale Brésolin est embauchée pour s'occuper de l'habillage et de la gestion des commandes.
Un incendie dévaste une partie des bâtiments (magasin et atelier étiquetage).
Le projet de reconstruction est en cours.
Les nouvelles installations sont inaugurées.
Avec la reprise d'une activité d'un ami, la vente au particulier est renforcée par des dégustat2ions/ventes en période estivale.
Muriel Landat-Pradeaux, fille de Jean-Paul rejoint le domaine.
Il n'y aura pas de millésime 2013 en vin rouge (météo capricieuse et maladies).
Jean-Philippe quitte le domaine et démarre une nouvelle activité.
Muriel s'associe à Jean-Pierre. Jean-Paul sera retraité salarié. Le GAEC devient une EARL.
Nous nous engageons pour les 29 Ha de Vignes dans la production BIO. Le premier millésime qui pourra avoir le logo AB sera le millésime 2020 !
Muriel est gérante, J-Pierre es retraité. Thibaut Guillermier rejoint l'équipe pour le remplacer au chai et au vignoble. Il sera aidé par Benoît Logié pour la vigne, ce dernier remplace J-Paul sur les tournées de livraison ! J-Paul est également retraité mais travaille à temps partiel. Quentin rejoint la Production en 2019.
La récolte 2020 sera la première certifiée Bio avec Ecocert. C'est aussi l'année du Covid : la capacité d'adaptation de l'équipe du Domaine du Siorac n'est plus à démontrer !
Les vignes sont renouvelées en vignes hautes pour lutter contre le gel, et larges pour pouvoir utiliser du matériel collectif. La récolte du raisin est vendue en vrac au Négoce. Mais suite au choc pétrolier de 1973 qui provoque un désordre monétaire, une crise viticole touche le vignoble de Bergerac. Les cours du vin en vrac baissent pendant plus de deux ans.
En 1975, alors que la récolte de 1973 est toujours en cuve, André décide de mettre en bouteilles à la propriété et de démarrer la vente en direct. C’est un vrai pari à l’époque !
Jean-Paul, le fils aîné de la fratrie et ingénieur en agronomie, s’installe en 1977 sur une partie de l’exploitation avec un élevage de taurillons.
Les deux autres fils d’André, Jean-Pierre et Jean-Philippe, après avoir obtenu respectivement un BTS Viti-Oeno et un BTA s’installent. En 1981 est crée le GAEC du Domaine du Siorac avec André et les « 3 Jean ». Les vignes représentent 9 hectares, la moitié de la production de vin est vendue en direct.
En 1982, les ventes plafonnent, il faut fidéliser la clientèle et travailler en collaboration avec d’autres producteurs du Périgord. Le GIE « paysans pour des produits fermiers » est créé. En 1984, il faut réduire les coûts des mises en bouteilles. Le GIE « vignobles des 3 horizons » est créé avec 3 autres viticulteurs pour faire des achats groupés de fournitures.
En 1985, André prend sa retraite. Les ventes en direct représentent à l’époque 1/3 des volumes. Les 3 fils font renaître un produit oublié : le Verjus. En 1987, un chai moderne équipé d’une installation de maîtrise des températures est aménagé. Il permettra de vinifier la récolte de 10 hectares de rouge et 3 hectares de blanc.
Le vignoble va s’agrandir de 6 hectares grâce à la location de terres à un voisin anglais sur la commune adjacente. Le terroir y est plus calcaire et apporte aux vins des typicités intéressantes.
En 1992, Jean-Paul, Jean-Pierre et Jean-Philippe décident d’abandonner l’élevage pour se concentrer sur la vinification et la commercialisation du vin et du verjus. Le vignoble atteint la surface de 19 hectares dont 13,5 ha en rouge et 3,5ha en blanc. La surface consacrée aux grandes cultures se stabilisent à 30 ha.
En 1995, Carine, fille aînée de Jean-Paul est embauchée pour assurer le secrétariat et la comptabilité. La vente directe, partie de zéro en 1975, représente les 2/3 de la production totale d’environ 1400 hl.
En 1998, un magasin d’accueil et de vente est créé sur la propriété.
En 2000, Pascale Brésolin est définitivement embauchée pour assurer l’habillage des bouteilles et partager la gestion des commandes avec Carine. La vente directe représente 3/4 de la récolte soit 74000 bouteilles en plus des 200hl de Bib et des 200hl de verjus.
En Août 2000, un important incendie se déclare dans l’atelier mécanique et détruit le magasin d’accueil (juste refait à neuf) et l’atelier d’étiquetage. En urgence, des bâtiments sont réaménagés pour continuer l’activité. Fin 2001, le projet de reconstruction est finalisé, il va améliorer les conditions de travail mais également les aspects environnementaux du chai.
Le 22 mai 2004, les nouvelles installations sont inaugurées. Les « 3 Jean » ont parfaitement relevé le défi.
En 2011, Muriel, fille de Jean-Paul, rejoint le Domaine dans la perspective de lui succéder. L’activité de commercialisation vers le particulier est renforcée avec la mise en place de dégustations / ventes durant la période estivale sur des lieux d’hébergement à proximité du Domaine.
L’année 2013 sera une année sans millésime de vin rouge. Mais cette année là, une cuvée spéciale sera mise en bouteilles : la cuvée « Les 3 Jean » (millésime 2010). En 2014, Jean-Philippe, le plus jeune des trois frères, quitte le domaine.
Entre 2013 et 2015, le domaine accélère la restructuration du vignoble avec presque 2ha arrachés et replantés chaque année. En 2015, l’exploitation amplifie ses pratiques respectueuses de l’environnement et implante entre autre des engrais verts.
En 2016, Muriel, s’associe avec Jean-Pierre et Jean-Paul qui prend sa retraite (mais reste salarié à mi-temps). Le GAEC se transforme en EARL. Ci-dessous, les 3 générations : André, Jean-Paul, Muriel.
En 2017, nous nous engageons dans le cahier des charges « BIO » (le premier millésime à être certifié AB sera le 2020). En 2018, l’EARL est certifiée Entreprise « Haute Valeur Environnementale » : Mise en place suite au Grenelle de l’Environnement, l’HVE est basée, non pas sur des objectifs de moyens mais des objectifs de résultats. Ils sont mesurés par des indicateurs qui évaluent la performance environnementale de notre exploitation en terme de biodiversité, d’utilisation des produits phytosanitaires, de gestion de la fertilisation et des ressources en eau.
2018 sera aussi l’année de la transition avec l’embauche de Thibaut Guillermier pour remplacer progressivement Jean Pierre au chai.
Puis, Benoît Logié va respectivement remplacer Jean Paul sur les tournées de livraison (entre autres !).
Fin 2018, Jean-Pierre prend sa retraite et quitte l’exploitation. Muriel prend la gérance de l’EARL à 100%.
2019 : l’arrivée de Quentin à la production va permettre de renforcer l’équipe à la vigne qui demande, avec le passage en agriculture Biologique, de plus en plus de soins.
Commercialement, l’année 2019 est marquée par des ventes de verjus à l’export en grande progression. Le Verjus dans les cocktails est maintenant ancré dans les recettes.
2020, année du Covid ! la commercialisation est complètement perturbée (salons annulés, fermeture de la boutique au domaine, fermeture de nos clients restaurateurs…) mais la capacité d’adaptation de l’équipe du domaine et la fidélité de nos nombreux clients ont eu raison de cette « crise ».
2020 – 2021 : Les touristes ont été nombreux sur l’été, les français étant « condamnés » à rester en France. Ils ont découvert le Périgord pour notre plus grand plaisir !
visite « vigne et vin découverte »
2023 : Notre Verjus rencontre de plus en plus de succès auprès des mixologues et des Barmans. Nous créons un site internet 100% dédié à ce jus de raisin vert.
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